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Mémoire des Hommes de Sainte Livrade sur Lot
29 septembre 2013

PAGE 82 : LES COLOMBIERS ET PIGEONNIERS DE LOT ET GARONNE ( ETAPE 3)

0 LIVRE DES COLOMBIERS DU LOT ET GARONNE

Couverture d'un petit livre que j'avais publié il y a 20 ans, avec en photo, "Redon",

le plus vieux pigeonnier de Lot et Garonne, XIII/XIVème siècle.

(Photo: Patrick Garcia)

 

Je continue ma présentation des plus beaux colombiers du Lot et Garonne. J'ai entamé cette série à la page 58 de ce blog. Pour ceux qui ne l'ont pas lu, je reprends l'essentiel de ma présentation sur ces édifices du patrimoine agro-pastoral, avec aujourd'hui, de nouveaux colombiers qui méritent une attention toute particulière. Bon voyage au pays des colombiers!

 Bon voyage au pays des colombiers!

N'oubliez pas les "News" en fin d'article, avec de nombreux rendez-vous pour les amateurs d'Histoire....

 

LES COLOMBIERS DE LOT ET GARONNE

Avec quelques autres départements alentours, le Lot-et-Garonne possède une grande variété de colombiers (pigeonniers). Ces petits bâtiments agricoles d'élevage du pigeon étaient, jusqu'à la Révolution, l'apanage des« nantis » (nobles, religieux et grands bourgeois...). Posséder un ou plusieurs colombiers donnait la possibilité de pouvoir exploiter en toute rentabilité des terres privées de fumure, puisque notre département n'a jamais été un département possédant beaucoup d'animaux de bétail domestiques, du moins avant le changement de type d'agriculture à l'époque moderne où l'élevage extensif s'est substitué à la petite polyculture. Les terres possédées par les seigneurs étaient partagées en nombreuses tenures, mises en métayage, souvent petites pour rentabiliser des propriétés souvent pas assez grandes pour nourrir tout ce petit monde... Ces petites exploitations étaient trop exiguës pour posséder du bétail que les métayers n'auraient d'ailleurs pas pu s'offrir. Sans le fumier pour enrichir les sols, le seul engrais était en dernier recours la« colombine » qui est la fiente du pigeon que l’on élève dans nos fameux colombiers.

 

LA COLOMBINE COMME SEUL RECOURS :

 

C’est ici qu’intervient la possibilité pour les seuls nobles, de posséder des colombiers, donc la « colombine » par voie de conséquence… le précieux fumier par qui« l’émancipation » aurait pu arriver. Qui tenait les cordons des sacs de « colombine » tenait la véritable richesse, le véritable pouvoir. Les petites propriétés, surexploitées voyaient leurs terres s’épuiser rapidement. Pour les régénérer, une seule solution, l’engrais miracle : « LA COLOMBINE ».

 

ÊTRE ET PARAÎTRE :

 

Puisque seuls les nobles avaient le droit d’avoir des colombiers, on s’imagine bien qu’ils avaient à cœur d’avoir un regard bienveillant et envieux sur leur propriété. La santé de la propriété devait se lire sur le « fronton » des colombiers !

 

Les matériaux employés (pierre, brique, colombage de bois…), les décorations (girouettes fleurdelisées, des épis de faîtage en céramique, symboles de virilité et de fertilité), les moyens d’accès (escaliers en pierre, échelle tournante intérieure qui permettait d’accéder aux nichoirs dont les cuves étaient tapissées, charpentes compliquées et savantes…), mais aussi les tuiles des couvertures participent aussi à la décoration par leurs formes en queue d’aronde, en triangles, plates, ou même remplacées par des ardoises pour les toits pentus …. Les fenêtres d’envols, surnommées «chiens-assis» du fait de leur forme avoisinante avec la position de l’animal quand il est assis, ont aussi, par leurs formes variées et la qualité d’exécution de leur ornementation, leur rôle à jouer, mais aussi par leur nombre. Plus il y en a, plus on a les «moyens» plus il y a de pigeons. Jamais quatre. En principe, il n’y a jamais un «chien-assis» sur chaque côté, on ne met jamais de fenêtre d’envol sur le côté du vent dominant, surtout dans nos régions venteuses. C’est pour cela que le maximum est de trois «chiens-assis». La seule exception que je connaisse, est un colombier de type carré du côté de Sainte-Radegonde. Mais aussi, cette erreur a été corrigée par un mur qui ferme la fenêtre tout en gardant l’aspect général extérieur… En effet, les pigeons ne supportent pas le vent. Pour cela, dans les zones venteuses du midi de la France et du Languedoc, on trouve un type de colombier que l’on nomme « Pied de Mulet », car il ressemble exactement à cette partie de l’anatomie du mulet, mais à l’envers. Le toit est plat, il est entouré d’un mur sur trois côtés qui permet aux volatiles de se prélasser au soleil à l’abri du vent d’Autan ou du Mistral. Seul côté étant dépourvu de ce muret, celui où il n’y a pas de vent et où se trouvent les trous d’envols.

 

Parmi les décorations les plus usitées, les motifs géométriques des colombages sont parfois «époustouflants». Les colonnes, par leur nombre plus ou moins élevé, permettent aussi d’étaler la richesse du propriétaire. Généralement 4, elles peuvent aller jusqu’à 9, voire plus, pour les ouvrages les plus fortunés ou tape à l’œil…

 

6 ELEMENTS ARCHITECTURAUX P8

Toujours tiré de ma publication, les principaux éléments architecturaux d'un colombier.

(Plan et photo: Patrick Garcia, reproduction interdite)

 

Ces concours «d’élégance» sont aussi des concours d’ingéniosité. En effet, ces bâtiments sont sujets à être envahis par des prédateurs, des nuisibles tels les rats, les fouines et autres belettes. Pour éviter leurs attaques, plusieurs solutions ont vu le jour :

 

- La surélévation : ainsi apparaissent les colombiers sur colonnes , sur arches, sur piliers de bois ou de pierre…

 

- La pose d’un rebord qui entoure le bâtiment en surplomb, comme un bourrelet, il s’agit du « larmier ». Cet appareillage oblige le nuisible à se trouver en position de marcher pattes en l’air et donc de tomber, ce qui empêche (en principe) tout accès à la cuve qui est au-dessus.

 

- Un moyen moins onéreux mais moins durable existe couramment, la «randière». C’est une ceinture d’ardoise, de faïence, ou de tôle vernissée assez large qui entoure la cuve du colombier, faisant une barrière infranchissable, car verticale et glissante.

 

- Pour éloigner les nuisibles volants, rapaces ou chouettes, les fenêtres d’envols sont munies d’orifices calibrés au diamètre exact du pigeon.

 

Nous venons de passer en revus les principaux moyens de décoration et de protection des colombiers.

 

LES PRINCIPAUX TYPES DE COLOMBIERS :

 

4 LES 8 TYPES DE COLOMBIERS P6

Toujours tiré de ma publication, les principaux  types colombiers.

(Plans et photos: Patrick Garcia, reproduction interdite)

 

5 LES 8 TYPES DE COLOMBIERS P7

Toujours tiré de ma publication, les principaux  types colombiers.

(Plans et photos: Patrick Garcia, reproduction interdite)

 

Après la Révolution, tous les propriétaires ayant les moyens, peuvent bâtir un colombier. Avec cette « démocratisation », apparait le colombier carré, posé au sol, typique de la vallée du Lot.

 Facile à construire, il permet d’avoir un sous-sol qui sert de dépendance agricole. Soit pour y caser les outils agraires, soit les animaux (cochons, volailles). Ils reprennent les éléments de protections classiques,« larmier » et/ou « randière ».

 Si, dans nos vallées de terre assez riche, on pose nos colombiers au sol, dans les pays « caussenards » (Lot, Serres, Auvergne…) les colombiers sont « accrochés ou posés » sur les bâtiments, soit la maison, soit la grange. Dans le cas où ils sont accolés à la maison, on dit que se sont des« colombiers Tourelles ». Il peut y avoir, une ou deux tourelles, donnant un petit air de manoir aux fermes de ces régions. Dans l’Est du Lot-et-Garonne, ils sont nombreux dans les causses du côté de Tournon d'Agenais, Masquières… En fait, on « n’accroche » pas les colombiers aux maisons pour faire « château » mais tout simplement par manque de place ou par souci d’économie.

 Parfois, ils sont posés sur le pignon de la grange, au centre de la façade, on en trouve beaucoup du côté de Marmande, Gontaud-de-Nogaret, Aiguillon…

 On trouve de-ci de-là, quelques colombiers de forme ronde. Mais ce n’est pas la spécificité de la région. Souvent ce sont d’anciens moulins à vent reconvertis en pigeonniers. D’ailleurs il suffit pour s’en convaincre de vérifier s’il y a deux portes, comme dans tous les moulins à vent.

 Une dernière variante, c’est le colombier « porche ». Dans les fermes ou propriétés à cour fermée, dans le style des chartreuses périgourdines, apparait ce pigeonnier muni d’un porche et de portes épaisses. Il sert aussi de tour de défense et garde la propriété dans une époque où il était parfois prudent de se barricader.

 

A LA DECOUVERTE DES PLUS BEAUX COLOMBIERS DU LOT ET GARONNE :

 

Je vous présenterai de temps en temps, quelques uns de ces bâtiments qui n’ont plus d'utilité aujourd’hui, depuis l’invention de l’engrais chimique. Ils méritent cependant d’être connus pour les services rendus, pour leur architecture savante, et aussi, en témoignage d’une époque à jamais révolue.

AUJOURD’HUI

 

BRUCH

Dans le village de Bruch, contre la colline, ce charmant édifice....

(Photo: Patrick Garcia)

BRUCH 1

Dans le village de Bruch, contre la colline, ce charmant édifice....

(Photo: Patrick Garcia)

BRUCH 2

Dans le village de Bruch, contre la colline, ce charmant édifice....

(Photo: Patrick Garcia)

 A BRUCH:

à droite dans Bruch, en venant du Port Ste Marie. Ce magnifique édifice à 4 colonnes du 16/17ème siècle, à colombages et torchis est muni de deux chiens assis. Situé en hauteur, il est du plus bel effet et très «romantique" en bordure d'un petit bois. Un beau sujet pour les peintres. Sa couverture en tuiles plates du type «galette" est du plus bel effet. Il mérite pour ce nouvel opus, la place de numéro 1!

 

FEYTIS SENESTIS

Massif et tout en rondeurs, ce colombier se trouve à gauche dans la plaine, entre Fauguerolles et Mas d'Agenais.

(Photo: Patrick Garcia)

FEYTIS SENESTIS 1

Massif et tout en rondeurs, ce colombier se trouve à gauche dans la plaine, entre Fauguerolles et Mas d'Agenais.

(Photo: Patrick Garcia)

"FEYTIS" à SENESTIS:

Quand on quitte le hameau de Feugarolles (entre Tonneins et Marmande) en direction du Mas d'Agenais, ce massif colombier se trouve à deux ou trois kms sur votre gauche, bien visible de la route s'il n'y a pas de production de maïs qui s'interpose. A l'inverse du gracile "4 colonnes" précèdent, ce "7 colonnes" est massif, fait pour résister aux intempéries et aux inondations dans cette plaine inondable de la Garonne, qui sortait de son lit bien plus souvent autrefois. Ces épaisses colonnes de brique, rappellent que la région a besoin de constructions solides et résistantes aux dégâts des eaux. Les six colonnes extérieures sont munies de « capels » en pierre pour refouler la sauvagine. La cuve à 6 côtés est à colombage surmontée d’un toit à tuiles « galettes » et romanes sur les faîtières. Enfin, un « coyau » (courbure du toit qui se relève comme le bout d’une spatule de ski) permet de rejeter les eaux loin du mur et évite ainsi l’humidité. L’ensemble inspire le « respect »...

 

 

 

GAYRAUD LAYRAC

Tout dans ce colombier est charmant, son toit effilé, couronné d'un lanternon, ses arcades, sa patine...

(Photo: Patrick garcia)

« GAYRAUD » à LAYRAC:

Près de la gravière de Layrac-Sauveterre St Denis. Il possède 4 arches et un superbe lanternon surmonté d‘un épi de faîtage (symbole de virilité et fertilité). Magnifique! Une « randière » de pierre, qui est le pendant du « capel » pour les colonnes, empêche les nuisibles de passer au dessus de cette « barrière » et d’entrer dans la cuve par le « chien assis » ou « fenêtre d’envol ». Notez là aussi, les « galettes » et les tuiles romanes pour les « faîtières ». Enfin, là aussi, un « coyau » (courbure du toit qui se relève comme le bout d’une spatule de ski) permet de rejeter les eaux loin du mur et évite ainsi l’humidité. Ce coyau est rendu possible par l’ajout d’une superbe génoise à deux rangées... Les 4 piliers supportant les arches sont munis de « capels ». Une pièce magnifique!

 

LACAM MASSELS 2

"Lacam", ce colombier posé sur un puits est une injure au bon sens paysan, et pourtant... Quel beau spécimen!!!

(Photo: Patrick Garcia)

 

« LACAM » à MASSELS:

Dans un petit château situé en pleine campagne, sur une hauture, se trouve cet adorable et curieux colombier. Il allie deux choses qui en principe, sont inconciliables: l’eau représentée par ce puits, et la fiente de pigeon réputée « pourrir » les eaux. Mais ici, dans ce petit castel il y avait peu de place et ces deux points stratégiques ont donc dus cohabiter. Pour ce faire, on a isolé « la partie des hommes , l’eau, le puits » de « celle des bêtes », le colombier, par un « clayage » en bois. Par contre dans cet univers, il n’y a rien à ma connaissance, qui n’empêche la sauvagine de rentrer dans la cuve, ni « capel », ni « randière ». Ce colombier tout en bois est don monté sur 4 piliers posés comme dans les granges, sur des galets de pierre pour les isoler de l’humidité et les pérenniser. Le toit à « Galettes » et « romanes » pour les faîtières est muni ici aussi d’un large « coyau » et ne possède qu’un seul « chien assis » (ou fenêtre d’envol). Le plus remarquable, c’est que la partie mécanique du puits est encore en état de fonctionner. Le propriétaire, fort sympathique, m’expliquait que dans sa jeunesse, il n’y avait pas la fée électricité. Il y avait, sur la propriété, une vieille femme, dont le seul travail était d’activer le va et vient du seau par l’intermédiaire de cette grande roue, pour alimenter en eau les hommes et les bêtes du voisinage... A l’époque, la retraite n’existait pas, et les personnes âgées devaient se rendre utile jusqu’au bout pour gagner leur pitance...

 

MEYNIE CLAIRAC

A "Meynié", ce qui est étonnant, c'est qu'il n'y ai pas de "chien-assis", alors que la construction est de qualité et visiblement "ostentatoire".             (Photo: Patrick Garcia)

 

« MEYNIE » près de CLAIRAC

Avant « Pélagat » en venant de Clairac à Aiguillon. 6 arches pour 4 côtés. Ah il inspire le respect, ce colombier aux dimensions  impressionnantes et qui, pourtant, ne possède pas de « chien assis », sûrement supprimés par économie, lors d’une récente restauration. Reste des fenêtres d’envol maçonnées sur une face, ce qui devait suffire à la petite colonie de volatiles qui l’habitait. Majestueux, « Meynié » a su garder quelques éléments en ardoises de sa « randière » (C’est une ceinture d’ardoise, de faïence, ou de tôle vernissée assez large qui entoure la cuve du colombier, faisant une barrière infranchissable, car verticale et glissante). Deux faces à deux arches, deux à une arche. Là aussi, un toit superbe à « galettes » et « romanes » avec un beau « coyau » monté sur une très belle génoise à deux rangées. Imposant!

 

 

PIG CARRÉ BROUSSE ST LIVRADE

Près du ruisseau "Automne" ce beau spécimen de pigeonnier carré...

(Photo: Patrick Garcia)

 

« BROUSSE » à SAINTE LIVRADE SUR LOT:

En bordure du ruisseau « l’Automne » (ou Autonne) qui sépare Sainte Livrade de Dolmayrac. Très bel exemplaire de l’architecture des colombiers de la vallée du Lot, post révolutionnaire.  Si avant la Révolution, seul les nobles pouvaient en posséder, tout cela se « démocratisa » après la Rébellion. Les édifices poussèrent comme des champignons dans les fermes qui pouvaient s’offrir la construction d’un tel édifice. Celui-ci doit dater du 19 éme siècle, à une époque où les engrais chimiques commençaient à pointer leur nez.  N’empêche, il fut équipé comme au plus beau temps par une belle « randière » en pierre de taille, un fût où alterne la pierre et la brique, de superbes chaînages en pierre de taille dans les angles, une génoise à trois rangs de tuiles plates et deux « chiens assis ». Là aussi, un toit superbe à « galettes » et « romanes » avec un beau « coyau » surmonté de deux « épis de faîtages » (symbole de virilité et fertilité) avec girouettes. Le bas du colombier sert de débarras.

 

REDON

"Redon", certainement le plus charmant et le plus émouvant des colombiers, et en tout cas, le plus vieux du Lot et Garonne!

(Photo: Patrick Garcia)

 

REDON ST JEAN DE THURAC 3

"Redon", certainement le plus charmant et le plus émouvant des colombiers, et en tout cas, le plus vieux du Lot et Garonne!

(Photo: Patrick Garcia)

 

« REDON » à SAINT JEAN DE THURAC:

A gauche avant St Jean de Thurac en venant d‘Agen .8 colonnes. Il semble dater du XIIIème siècle selon les informations des propriétaires et son architecture est loin de le démentir. Il serait donc le plus vieux colombier du Lot et Garonne. La propriété est fort ancienne, puisque des vestiges gallo-romains sont présents en nombre dans les substructions, ce qui implique une continuité dans l’habitation du lieu, qui fut au moins une grande maison noble au moyen âge. Cela expliquerait la richesse de cette magnifique construction dont les colombages dessinent de très beaux motifs géométriques. Un petit lanterneau couronne le toit à un « chien assis » qui ne possède pas de « coyau ». Huit colonnes à « capels » supportent la cuve qui semble donner de la gîte, donc des soucis... Quel Monument...

 

SENDAT CASTELJALOUX

Situé sur la hauture à gauche à l'entrée de Casteljaloux en venant d'Agen, le colombier du castel  de Sendat.

(Photo: Patrick Garcia)

 

« SENDAT » à CASTELJALOUX:

Sur la hauteur, à Gauche, dans la ligne droite qui précède Casteljaloux, à 2km en venant d’Agen. Ce colombier est l’ancien colombier du magnifique château renaissance « Sendat », dans la plaine, sur la route de Damazanà 4 km de Casteljaloux. Il fut transporté ici par manque de place. C’est une originalité adorable. Hexagonal, planté sur petit bâtiment carré, cela donne un joli profil géométrique.  Couleur de brique il est surmonté d’un joli lanternon, ici les pigeons rentrent par de petites planches d’envol triangulaires. Une vraie curiosité!

BONNE VISITE ET A BIENTÔT POUR D'AUTRES COLOMBIERS!!!!

PATRICK GARCIA

 LES RENDEZ-VOUS

 

-          4 et 6 octobre 2013, Narbonne, 28ème rencontres de l’Association Française pour l’Archéologie du Verre, Renseignements : colloque.afav2013@yahoo.com

 

 

 

-          4, 5, 6, octobre 2013, ST GERMAIN DU SALEMBRE (Dordogne), Du minerai à l’outil  « Premiers métallurgiques en Périgord,  informations : Patrimoniales de la vallée du Salembre », 06 45 72 75 39  courriel :  patrimoniales.salembre@laposte.net

 

 

 

-          5,6,7,8 octobre 2013, RIBERAC (Dordogne), 36ème congrès de la Société Française d’Etude des Souterrains, communications et visites de souterrains et de cluseaux. Renseignements : Luc Stevens : troglo21@yahoo.fr   gsm : 00 32 498 10 68 73

 

 

 

-          6-8 novembre 2013, Toulouse Université Le Mirail, 34ème Journées internationales d’archéologie mérovingienne, Association Française d’Archéologie Mérovingienne,  Du Royaume goth au Midi mérovingien,   Renseignements :http://afam-2013-toulouse.e-monsite.com/

 

 

 

ASSEMBLEE GENERALE A.A.47 :

 

 elle aura lieu le samedi 23 novembre à 15h00

 

Espace d’Archéologie     Eysses     Villeneuve sur Lot

 

Elle sera suivie d’une conférence d’Anthony COMFORT, « Ponts et voies romaines au Kurdistan irakien ».

 

Anthony Comfort pilote le groupe d’études de la voie romaine Eysses – Périgueux.

 

Appel à candidature : Les  nouveaux candidats ainsi que les membres sortants candidats à un nouveau mandat, pour ceux qui ne l’ont pas fait,  sont invités à se faire connaître au plus tôt à :

 

Michel Daynès                                  05 53 01 20 88                       michel.daynes@wanadoo.fr

 

Jean-François Garnier         06 10 15 48 43                       jeanfrancoisgarnier@yahoo.fr

 

 

 

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ASSOCIATION ARCHEOLOGUES LOT-ET-GARONNE

 

BP. 104

 

47303    VILLENEUVE SUR LOT CEDEX

 

 

 

 

 

 

 

 

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