PAGE 256 : AQUITAINE : FANLAC, VILLAGE DE JACQUOU LE CROQUANT ET LE THOT SON PARC VOISIN (24)

20 novembre 2021

Blasonnement de « Thonac » où est implanté le « parc du Thot »:

"D'azur à neuf étoiles à six rais d’or ordonnées 3, 3, 2 & 1 qui sont aussi celle de la famille de « Losse », possédant le château fort à de « Thonac » (Wikipédia)"

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : Le château de l'illustre famille de "Losse" sur la Vézère à Thonac donne son blason à la ville et à son parc animalier. (Photo : Patrick Garcia)

Trajet de Bergerac (24) à Fanlac et alentours dont, le Thot.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Les éléments les plus reconnaissable de Fanlac, son puits, sa croix et son église...(Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Au parc du Thot, les bisons sont une des curiosités majeures. (Photo : Patrick Garcia)

Après avoir arpenté, ruelles et sentiers de « Fanlac », où se situe en grande partie, l’histoire de Jacquou le Croquant, nous avons pris la route de « Thonac » et « Montignac ». Car à mi-chemin, (3kms), est installé un parc animalier affilié à « Lascaux » : le « Thot ». Et comme sa sœur, ce parc présente des animaux qui vivaient déjà à l’époque préhistorique et son peints sur les parois de la célèbre grotte de Lascaux. Des animations sur les techniques de taille de silex etc, sont aussi présentées.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

Depuis longtemps j’ai écris que ma passion est fusionnelle avec la « Dordogne ». Elle date de mon enfance où j’épluchais l’immense catalogue des châteaux du « Pays de l’Homme ». Je passais mes jeudis à jouer « Ivanhoé » avec mes copains d’école, épée de bois en main, dans des châteaux de pailles et de bois, nous refaisions la « Guerre de 100 ans ». Jeune adulte, ce fut une révélation pour moi, que cette lecture d’un roman d’Eugène Leroy, publié en 1899 : « Jacquou le Croquant ».

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : la premier affiche (jaquette) de la série TV de 1969. (Photo : du Net)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l'affiche de la version cinéma de 2007. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: le regard du petit Eric Demain qui jouait Jacquou (jeune) dans la première version, au côté de sa mère Marie Féralal (Simone Rieutor ) est resté dans toutes les mémoires. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Dans la 2ème version, le chevalier de Galibert (Tchéky Karyo) quitte son rôle secondaire pour devenir prépondérant. (Photo : du Net)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici la 2ème version, le chevalier de Galibert (Tchéky Karyo) et le curé Bonal (Olivier Bonal) . (Photo : du Net)

Ce chef d’œuvre, tiré de faits authentiques déroulés lors des révoltes paysannes dans le Sud-ouest de la France, fin 18^ème et début 19^ème siècle, m’émut au plus haut point.

Puis vint la découverte de la série T.V. (tirée de ce roman) tournée par Stéllio Lorenzi, diffusée en 6 épisodes en automne 1969, qui encra en moi, à jamais, les racines de mon attachement pour ce coin de France.

Depuis, je n’ai eu de cesse de m’y rendre, de rechercher les lieux de tournage, de m’imprégner de l’ambiance et des paysages. Aujourd’hui, sur le tard de ma vie, mes sentiments n’ont pas changé, peut-être sont-ils plus puissants, même…

Mes enfants partagent cet amour pour cette terre. Nous nous y sommes rendus ensemble, en cet automne flamboyant et doux, un véritable « été indien ».

C’est le récit de cette balade à « Fanlac » et de cette visite au parc du « Thot » que je vous présente aujourd’hui.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

JACQUOU LE CROQUANT

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: lors du tournage de la série TV, Marie Féral et Jacquou dans une rue de Périgueux. (Photo du Net)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, le portail d'entrée de la maison du curé Bonal, à gauche de l'église. (Photo du Net)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, l'intérieur de la cour de la maison du curé Bonal. (Photo du Net)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, à droite, le chemin de "la Fontaine" qui descend vers Montignac. Derrière Jacquou vers la rue principale et le hameau de Bars, on y va aussi par la gauche. (Photo: Patricick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, la magnifique croix hosannière où dans le roman de Leroy, le curé Bonal trouve Jacquou. (Photo: Patricick Garcia))

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, explications de cette magnifique croix. (Photo: Patricick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, recto de croix. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, verso de la croix. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, l'église, la maison du curé est à gauche. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, vue latérale de l'église. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, le"Zola périgourdin", eugène Le Roy. (Photo : wikipédia)

« Jacquou le Croquant » est un roman social français écrit par « Eugène Le Roy » de mars 1896 à mai 1897. Le titre choisi par l'auteur est La Forêt Barade mais l'œuvre est publiée pour la première fois en 1899 sous forme de feuilleton dans la Revue de Paris sous le titre « Jacquou le Croquant ». L'ouvrage est édité en 1900 par Calmann-Lévy.

« Jacquou » est inspiré du terme « jacquerie », désignant la révolte paysanne de l'Ancien régime. Il est surnommé le « croquant » en référence aux révoltés qui agitèrent le Sud-Ouest de la France aux XVI^e et XVII^e siècles.

Le roman aborde la période difficile de la Restauration en France, après le départ de Napoléon I^er. Il aborde la misère qui marque cette époque, où la France est exsangue, après la révolution et les guerres napoléoniennes, surtout dans le monde rural.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

L’HISTOIRE

L'histoire commence en 1815 alors que Napoléon I^er est exilé à Sainte-Hélène.

À « Combenègre », pauvre métairie dépendant du château de « l'Herm », les « Ferral » sont métayers du « comte de Nansac ». À la suite du meurtre de « Laborie », régisseur du château, « Martissou », le père de Jacquou, est condamné aux galères où il meurt peu après.

« Françou », sa mère, obligée de quitter « Combenègre », se réfugie dans une masure à « Bars » où, minée par les trajets et le peu de travail trouvé, elle meurt à son tour. Âgé de 9 ans, « Jacquou » est orphelin et désormais seul au monde. Il s'en va par les chemins glaner un peu de travail çà ou là. Affamé le plus souvent, dormant dans les fossés, il échoue à « Fanlac » et s'endort au pied du vieux puits sur la place, épuisé.

Le curé du village, « Bonal », le recueille et entreprend son éducation. Peu à peu, « Jacquou » se remet mais il n'oubliera jamais l'injustice qui a fait mourir ses parents. Cinq ans plus tard, à la mort du curé « Bonal », « Jacquou », devenu adulte, qui fréquente « Lina », devient charbonnier avec son ami « Jean ». Il braconne aussi quelquefois dans les bois du comte. Un soir, il se fait prendre par les gardes de ce dernier qui l'enferment dans les oubliettes du château. Ne voyant plus son ami et le croyant mort, « Lina » se jette dans le Gour (gouffre près de Thenon). Pendant ce temps le « chevalier de Galibert », ami de « Bonal », délivre « Jacquou » en menaçant le comte de représailles judiciaires.

« Jacquou » est libéré mais, en apprenant la mort de sa belle, il rassemble autour de lui tous ceux qui ont eu à se plaindre du comte, qui sont nombreux et il les nomme « les croquants ». Un soir, ils incendient le château. « Nansac » est ruiné, « Jacquou » jugé et libéré après l'abdication du roi Charles X dont « Nansac » était un partisan. Il revient à « l'Herm » où il se marie avec « Bertille », une amie de « Lina » et reprend son métier tranquille de paysan.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, photo argentique prise il y a une vingtaine d'années dans le choeur de l'église, la dame qui se trouvait là m'expliqua longuement les conditions du tournage à laquelle elle participa. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, de nos jours l'intérieur de l'église. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, de nos jours l'intérieur de l'église. La chaire. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, de nos jours l'intérieur de l'église. les "stalles". (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, de nos jours l'intérieur de l'église. Vue de la nef depuis l'autel. (Photo : Patrick Garcia)

Lieux de l'action

La plupart des lieux décrits dans le roman existent réellement, sur la rive droite de la vallée de la « Vézère », dans le « Périgord » :

- En particulier le « château de l'Herm », lieu d'habitation de la famille de « Nansac »,

- Les villages de « Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac », de « Fanlac », de « Bars ».

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, à gauche la maison du chevalier de Galibert. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, toujours la maison du chevalier de Galibert. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, le fameux puits au centre du village, contre la croix hosannière. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, vue générale depuis le chemin de la "Croix de Courderc". (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, ici la partie la plus connue du village avec la place centrale, le puits, la croix et l'église. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, un joli pigeonnier. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, les vieilles et belles maisons traditionnelles. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, un joli manoir en sortie du village près de la croix de Couderc. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, la croix de Couderc. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

L'histoire du tournage de la série TV

JACQUOU LE CROQUANT

« Fanlac, vous connaissez ? Il y a peu de temps encore, ce nom n'éveillait guère d'échos auprès de la grande majorité des français. Mais depuis cette fin de l'année 1969 où fut diffusé le feuilleton télévisé "Jacquou le Croquant", les choses ont bien changé, on s'est rué vers ce théâtre des aventures du héros d'Eugène Le Roy (romancier de terroir) et de Stellio Lorenzi (réalisateur du feuilleton tiré de son œuvre).

Toquade d'un moment disait-on... C'était mal préjuger de la suite : les mois ont passé et l'engouement pour ce village du Périgord Noir est resté le même. Il a même sensiblement augmenté : depuis leur présentation au public français les épisodes de Jacquou ont été diffusés aussi dans plusieurs pays étrangers. Et c'est maintenant une foule cosmopolite de touristes que se presse, comme en pèlerinage, autour des vieilles maisons de Fanlac.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, lors du tournage de la série, Jacquou adulte (Claude Cerval) et les figurantes du village. (Photo mairie de Fanlac)

Commune de 136 habitants aux ruelles bordées de maisons qui n'ont pas changé depuis des siècles et qui entretenues régulièrement par ses habitants, fiers de leur village. Les frontons portent souvent les dates de naissance en quelque sorte : 1680 pour la doyenne, 1740 pour la benjamine...C'est dans ces vieux murs donc et alentour, que Stellio Lorenzi avait tourné la plupart des scènes de Jacquou.

Sa venue en 1968, avait fait sensation :
« J'engage comme figurants, avait-il dit, tous ceux qui ont un visage, une gueule, du caractère. Je crois que tous ensemble, nous ferons du bon travail. » Chaque maison fournit ses paysans et ses paysannes, ses vieillards et ses enfants. Un homme endossa la livrée du cocher de l'abominable comte de Nanzac, le tyran de Jacquou, un autre resta le cultivateur qu'il était mais dans une tenue d'un autre âge. Un fermier de Rivière-Basse, M. Louis Blan, se fit meunier.

Il raconte :

« Ce n'était pas tout... Ces Messieurs de Paris avaient encore "engagé" mes vaches, mon cheval et mon âne. Un âne bougrement intelligent, d'ailleurs. Regardez-le dans son pré. On dirait qu'il tient encore son rôle.
A Fanlac les enfants manquèrent plus ou moins l'école. Et l'on ne sonnait plus la cloche de l'église sans avoir sollicité l'autorisation des ingénieurs du son. Les chevaux eux-mêmes avaient appris à hennir sur commande. On se laissait patiemment maquiller, et, les tournages du jour terminés, on allait chez le boulanger en coiffes et en sabots, comme sous la restauration. Le village, en un mot, ne vivait plus que pour son "croquant".
Mais les plus belles fêtes ont une fin. Un beau matin, il fallut se séparer. Et c'était grand dommage car comédiens et figurants étaient devenus les meilleurs amis du monde.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, la maison des Ferral (la famille de Jacquou) , qui malheureusement a disparu (Photo du Net)

Merci ma bonne Marie, lança Noël Roquevert à Marie Beusse, une villageoise qu'il avait eue pour partenaire. Et sans façon, il l'embrassa -rougissante- sur les deux joues, tandis que Francis Claude distribuait des poignées de main à la ronde.
Quand la petite armée des "gens de la télévision" eut plié bagage, chacun se prit à regretter le temps heureux où tout le pays "faisait du cinéma". Si seulement ces Messieurs nous avaient laissé nos beaux costumes de figurants, soupirait-on, on les aurait gardés comme souvenirs, on aurait pu, plus tard, les montrer à nos petits-enfants. »

Les antiques demeures retournèrent à leur silence, à leur anonymat sur le plateau désolé où, l'hiver, le froid fait craquer le coeur des vieux arbres.

Ils étaient bien rares, à l'époque, les visiteurs qui s'en venaient voir, de dimanche, la maison de l'excellent abbé Bonal ou encore la ferme délabrée de Combenègre où s'était écoulée l'enfance de Jacquou. Encore ne s'attardaient-ils pas. Ils ne faisaient qu'une halte brève avant de rallier Périgueux à Sarlat. Heureusement, il y avait toujours le confit d'oie, prestigieux ornement des tables périgourdines. Et c'est par l'entremise de cette spécialité gourmande que la bonne nouvelle est arrivée : un assistant-réalisateur qui avait su nouer des relations intéressées, écrivit un jour à un cultivateur pour lui passer commande de confit. Et il lui annonçait post-scriptum, que le feuilleton allait être enfin diffusé. Alors l'homme se répandit dans les foyers : nous allons nous voir à la télévision ! Jacquou c'est pour bientôt.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici "Las Cabanes" près de Sarlat, où fut tournée une partie de la première série, lorsque le père de Jacquou, Martissou Ferral se réfugie chez Jean, le charbonnier. (Photo du Net)

Le soir de la première émission, Fanlac et tout le Périgord étaient attentifs devant les récepteurs. Tout était calme encore au pays. Les châtaignes "blanchissaient" devant le cantou, le vin blanc chantait dans les verres. Les feux de sarments réchauffaient les vieux murs. Bref, Fanlac était comme avant. Un village minuscule, sans âge, oublié. C'est après le second épisode que tout, soudain, se trouva modifié : bravant la froidure, des centaines de personnes se prirent à courir les chemins du Périgord noir. Le dimanche, plus de 300 voitures convergèrent vers le château de l'Herm. Les pompistes qui, d'ordinaire, à cette saison s'estiment démobilisés, avaient repris du service. Des restaurateurs de la région -dont les fourneaux s'éteignent généralement à la fin septembre pour attendre le retour des beaux jours- durent en toute hâte battre le rappel de leurs serveurs. Devant les sombres ruines de l'Herm, les tapis de mousse piétinée témoignaient de l'intensité du trafic. Une dame de la croix rouge était venue tendre là son tronc de quêteuse et des marchands de marrons avaient disposé leurs braseros à l'entrée du chemin. Fanlac devenait, en un jour ou peu s'en faut, un village vedette. Depuis cette première vague les bonnes nouvelles se sont succédé : il y eut, d'abord, le classement de la commune comme "site protégé" et puis l'eau sur l'évier en remplacement des corvées quotidiennes à la fontaine publique.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici la "Tuilière", la ruine dans la forêt Barrade où se réfugient Jacquou et sa mère après l'arrestation de Martissou le Père. (Photo de la Mairie)

Vive Jacquou ! Il nous a apporté l'eau courante. Le vieux presbytère n'en pouvait plus d'être un vieux presbytère mais, depuis des siècles, il n'y avait jamais eu un sou de crédit pour l'entretenir ou le restaurer... Miracle ! On le retrouva, un beau matin, tout ceinturé d'échafaudages, avec des ouvriers affairés à soigner les murailles meurtries. Des citadins louèrent des fermes abandonnées. Ils voulaient se reposer là plutôt qu'ailleurs en fin de semaine. On vit même surgir un écriteau particulièrement éloquent : "Maison à vendre, Jacquou veillera sur vous". Les commerces n'existaient guère à Fanlac. Toutes les transactions reposaient sur le bon vouloir des marchands ambulants. Mais un cultivateur avisé du hameau de la Galube, M. Roger, ouvrit, un bar-crêperie "Le Croquant". Le maire M. Georges Berbesson, n'en finit plus de se frotter les mains : ce n'est que le printemps de Fanlac, répète-t-il, ce n'est rien qu'un commencement.

En effet, une importante réunion a eu lieu, il y a quelques jous, dans la commune, autour de M. Buffet, sous-préfet de Sarlat, avec tous les responsables des sites et du tourisme que compte la région. Fanlac a été classé cette fois "village pittoresque de France". On a décidé que des crédits seraient affectés à diverses restaurations et à des aménagements, que l'on insisterait, dans la propagande touristique, sur la proximité des lieux enchanteurs que sont la Vézère et Montignac, que l'on chasserait du village les automobiles -ces anachronismes- grâce à des parkings de dissuasion aménagés à courte distance.
Les jeunes ne songent plus à s'expatrier. Et Michel Laporte, jeune ouvrier maçon s'écrie : ce feuilleton sur Jacquou, quelle chance pour tout le monde. C'est de l'or. Il nous faudrait maintenant des commerces, mais pas trop. Ah, si j'avais de l'argent...

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, le chemin de"la Fontaine" qui va rejoindre Montignac. (Photo : Patrick Garcia)

Il reste toutefois ici, comme partout en semblable circonstance, quelques esprits craintifs. Nous sommes près des Milandes disent-ils...Les Milandes dont Joséphine Baker voulait faire un "carrefour des amitiés internationales". Or, ce fut un désastre. Les Milandes, en effet, s'enfoncent dans l'oubli et la mélancolie, des illusions perdurent... Alors, Fanlac ne doit-il pas résister au vertige de la notoriété et rester, tout simplement le vieux pays de Jacquou ? Ce n'est pas l'avis de Jacquou en personne.

Seulement, voilà... Jacquou le Croquant n'a jamais existé. Il n'a vécu que dans l'imagination d'Eugène Le Roy, cet ancien percepteur au visage de barde breton, ce "romancier de terroir et du dimanche" que l'on a joliment appelé le "Balzac périgourdin".

Mais Jacquou incarne si bien les hommes de ce pays que chacun, à présent, se réclame de sa descendance ! Et on peut très bien, malgré tout, envisager de lui élever une statue : un personnage ne peut être de simple fiction quand il exprime l'âme de tout un peuple."

(Article écrit par M. Jean GAVEL après la sortie du film 1970 en ligne sur le site de Fanlac)

https://fanlac.jimdofree.com/jacquou-le-croquant/

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici Fanlac, brochures de balades autour du village. (Photo du Net)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

Vidéo: Interwiew d’Eric Demain adulte (le petit Jacquou)

https://video-streaming.orange.fr/actu-politique/interview-eric-damain-extrait-jacquou-le-croquant-CNT000001jGtDw.html?fbclid=IwAR1_mnUc-UtIvaU_7ka1XSMo51GatS-eOYBiG09Sxthq2wVGItl5Hw6affs

Vidéo: Laramée a fait Austerlitz

https://www.facebook.com/PascalBernardOutreau/videos/2769262499753346

Vidéo: Le chevalier de Galibert

https://www.facebook.com/PascalBernardOutreau/videos/1440889162666749

Vidéo: Musique du film

https://www.facebook.com/PascalBernardOutreau/videos/1199697676785900

Page Facebook de Jacquou

https://www.facebook.com/PascalBernardOutreau/

Extrait du site de la mairie de Fanlac

https://fanlac.jimdofree.com/

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : le château de l'Herm, dans Jacquou, c'est la demeure du comte de Nansac. (Photo : du Net)

Vidéo: LE CHÂTEAU DE L’HERM, LA DEMEURE DU COMTE DE NANSAC

C’est ici qu’ « Eugène Leroy » situe la demeure du comte de « Nansac » rendue célèbre lors du tournage de la série « Jaquou le Croquant » , adapté pour la télévision par « Stellio Lorenzi » en 1969.. Il s’y est passé aussi de très nombreux crimes… Construit entre 1500 et 1520 au cœur de la forêt « Barade » en Dordogne, le « château de l'Herm » est abandonné à la suite de plusieurs assassinats. Aujourd’hui, ce site est ouvert à la visite. Il revit grâce à des travaux de protection, des recherches historiques, des pièces de théâtre et des concerts estivaux. Les fouilles archéologiques de ces dernières années ont révélé l'enceinte circulaire de bâtiments plus anciens, dont les actuels fossés en eau sont un vestige.

https://www.youtube.com/watch?v=X4rXvLxKuuE

AVANT LA VISITE DU PARC DU TOT

LES JOLIS COINS DU PAYS DE JACQUOU A MOINS DE 10 KMS POUR VISITES ET RANDOS

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Montignac le gros bourg des environs de Fanlac. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: toujours très proche de Fanlac, la petite merveille du château de "la Grande Filolie" contre Montignac. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: St Léon sur Vézère et un de ses manoirs et châteaux: le manoir de la Salle. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: St Léon sur Vézère outre ses manoirs et châteaux, la magnifique église romane au toit de lauze, St Léonce. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: St Léon sur Vézère et un de ses manoirs et châteaux: le château de Clarens. (Photo : Google)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Blottie contre Thonac et Fanlac, le beau village de Valojoulx contre Montignac avec ses couleurs ocres et ses toits de lauze. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Blotti contre Thonac et Fanlac, en bordure de Vézère qui travers Montignac à 4 km, le très beau château de Losse, très visité pour ses parcs et ses intérieurs. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: l’été indien dans ce pays magnifique. (Photo : Patrick Garcia)

UN PARC AU PAYS DE « JACQUOU » : LE THOT !

EN DORDOGNE, SUR LA VÉZÈRE PRÈS DE LASCAUX, UNE BELLE VISITE POUR PETITS ET GRANDS, LE PARC ANIMALIER DU THOT.

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : Ici le parc animalier du Thot : Ici un loup d'Europe. (Photo : Patrick Garcia)

Situé au coeur de la Vallée de la Vézère, le Parc animalier du Thot est le complément idéal à votre visite de Lascaux. Le quotidien des hommes de Cro-Magnon et les animaux qu'ils ont côtoyé n'auront plus de secret pour vous. Vous admirerez les différentes espèces du parc (cerf, aurochs, bisons ou cheval de Przewalski) et faire connaissance avec 3 loups gris d'Europe : Taïga, Django et Cheyenne.

Petite vidéo sur le parc :

https://www.youtube.com/watch?v=iQvffaR82dk&t=4s

Un voyage dans le temps à la rencontre des animaux disparus grâce au miroir temporel et découvrez les mécanismes des cycles climatiques à travers un film 3D. Vous pourrez également appréhender l'art des cavernes de manière inédite avec un atelier d'art pariétal et vous initier à d'autres savoir-faire préhistoriques tels que la fabrication de parures, la taille de silex ou encore le travail du cuir. « Ici, tout est fait pour apprendre en s'amusant et cultiver sa curiosité, aussi bien pour les enfants que pour les plus grands. Tout cela fait du Parc du Thot une sortie culturelle incontournable en Dordogne ! »

Partez à la découverte des gestes et techniques des artistes préhistoriques dans un espace muséographique dédié à leur vie quotidienne. Grâce à un nouveau procédé de mise en lumière noire, les gravures de la Nef de Lascaux vous seront merveilleusement révélées.

Pour compléter votre visite, le parc animalier vous permettra de comparer les animaux peints à Lascaux avec leurs descendants vivants : Aurochs, cerfs, bisons, chevaux de Prjewalski, loups...

Nous découvrons aussi des chevaux que nous avons tous vu lors des représentations et photographies de Lascaux. Les chevaux de Przewalski mais aussi de Tarpan. Cet aspect de la visite mérite quelques explications que j’ai piochées lors de ma visite et sur le net.

LA VISITE EN PHOTO

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : Ici le parc animalier du Thot : parmi les Aurochs.. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : Ici le parc animalier du Thot : la biche blanche n'est pas albinos, ce qui en fait sa rareté. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : Ici le parc animalier du Thot : Un magnifique spécimen de cerf d'Europe en famille. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le Parc du Thot : Ici le parc animalier du Thot : Ici un loup d'Europe. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici le parc du Thot: un bison d'Amérique. (Photo : Patrick Garcia)

Tarifs en fin de texte.

LE « CHEVAL DE PRZEWALSKI », DERNIER CHEVAL SAUVAGE

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici le parc du Thot: un cheval de Przewalski. (Photo : Patrick Garcia)

Le cheval des steppes peint dans les grottes de Lascaux. Ce cheval vivait autrefois dans les steppes de l’Europe centrale et jusqu’en Asie centrale. La Mongolie fut sa dernière patrie. Il fut sauvé par les zoos.

Le cheval de Przewalski , encore appelé cheval de Prjevalski ou takh en mongol, est une espèce ou sous-espèce du cheval (Equus caballus). Il est caractérisé par un aspect massif, une grosse tête, une forte encolure et une couleur de robe bai, qui rappellent les représentations de l'art préhistorique. Il mesure 1,30 m en moyenne au garrot.

Découverte et capture pour les zoos

Il est « découvert » tardivement, en 1879, par le colonel Nikolaï Mikhaïlovitch Prjevalski, qui leur lègue son nom. Cet explorateur russe d'origine polonaise, le trouva en Dzoungarie, dans les montagnes qui bordent le désert de Gobi. Avant cet événement, l'espèce était considérée comme éteinte, exterminée pour sa viande par les chasseurs mongols.

Après sa découverte, pour répondre aux demandes de différents zoos, et en raison de son caractère sauvage, les chasseurs en ont abattu des groupes entiers pour s'emparer de quelques poulains (51 dont 28 arrivèrent vivants dans les zoos). Cette chasse entraîne sa raréfaction à l'état sauvage, et les derniers individus sauvages ont été aperçus en Mongolie en 1969. À compter de cette date, l'espèce a été considérée comme disparue dans la nature.

L'espèce est perpétuée par les spécimens des zoos. Tous les animaux actuels descendent d'un groupe de (selon les sources) 9 ou 12 reproducteurs (parmi les 31 animaux captifs vivants à la fin de la Seconde Guerre mondiale), eux-mêmes descendants de 13 reproducteurs capturés vers 1900.

LE « TARPAN », UN DESCENDANT OUBLIÉ DU CHEVAL SAUVAGE D’EUROPE

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici le parc du Thot: un cheval Tarpan. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici le parc du Thot: deux chevaux Tarpan. (Photo : Patrick Garcia)

Au pays de Jacquou le Croquant (24), le village de Fanlac et le parc du Thot: Ici le parc du Thot: un cheval Tarpan. (Photo : Patrick Garcia)

Si les fresques et gravures pariétales du sud-ouest de la France et du nord de l’Espagne nous ont laissé d’inestimables témoignages artistiques, elles nous ont aussi permis de savoir, entre autres, à quoi ressemblaient les chevaux présents en Europe à la fin du Pléistocène.

Comme le cheval de Przewalski , « Equus ferus ferus », le cheval d’Europe occidentale et centrale, a lui aussi été abondamment chassé, si bien qu’en 1780 les dernières hardes sauvages sont transférées de la forêt de Bialowieza en Pologne à une réserve de chasse. Là, ils finissent domestiqués par les locaux, qui leur donnent le nom de « konik », littéralement « petit cheval ». Un siècle plus tard, l’espèce sauvage est éteinte et sa forme domestiquée prend le nom de « tarpan ».

A la recherche des caractéristiques originelles du cheval sauvage

Au début du XXème siècle, Tadeusz Vetulani, professeur à l’Université de Poznan (Pologne), entreprend de redonner vie à la race primitive. Mais contrairement au cheval de Przewalski, il n’existe plus de spécimens au patrimoine génétique authentique, les tarpans étant des chevaux hybridés entre « Equus ferus ferus » et les équidés domestiques ! Le scientifique décide donc de sélectionner les « koniks » se rapprochant le plus du cheval primitif et de cultiver par la reproduction ses caractéristiques originelles comme la raie vertébrale (plus connue sous le nom de raie de mulet), les zébrures sur les membres ou encore les marques scapulaires en haut des épaules. Après la Seconde Guerre mondiale, les tarpans qui ont survécu sont installés sur le domaine de Popielno et le décès du scientifique polonais en 1952 mettra fin au projet.

Le Projet Tarpan français

Vetulani n’a eu le temps de voir que le haut de l’iceberg, mais sa mission a été reprise par d’autres et notamment par l’association française ARTHEN-Bugerbivore. Créée en 2004 dans l’Ain, l’association pour le Retour du Tarpan et des grands Herbivores dans les Espaces Naturels a mis en place le « Projet Tarpan » qui vise à poursuivre les travaux de Tadeusz Vetulani et à redonner un rôle en France aux grands herbivores. Pour promouvoir l’équidé qu’elle considère comme le plus proche descendant du cheval sauvage ancestral européen, l’association propose du pâturage naturel. Sur le même principe que l’éco-pâturage qui utilise plutôt des moutons et des chèvres, les tarpans ont « une aptitude naturelle à se contenter d’une nourriture plus frugale, notamment l’hiver où ils consomment des espèces ligneuses », nous explique Marc Michelot, président d’ARTHEN. L’association est propriétaire ou gestionnaire d’une quarantaine de tarpans qu’elle préserve en leur permettant de vivre sans aucune interaction avec l’Homme.

Le but de l’Association

Le but du « Projet Tarpan » est avant tout scientifique. Ces troupeaux, qui évoluent « dans leur contexte naturel » rappelle l’association, permettent d’étudier le comportement des chevaux, notamment leur alimentation et leur faculté à s’auto-médicamenter. Il s’agit aussi de reprendre le travail de « rétro-sélection » de Vetulani qui vise à concentrer les caractères primitifs issus de « Equus ferus ferus ».

Enfin, au travers d’animations, de sorties découvertes et de partenariats avec les offices de tourismes, ARTHEN-Bugerbivore souhaite également mettre en lumière l’histoire et l’existence du tarpan, le descendant oublié du cheval sauvage européen.

(https://www.especes-menacees.fr/ )

(http://www.arthen-tarpan.fr/wa_files/Histoire_20naturelle_20du_20tarpan.pdf)

Coup d’œil sur les tarifs simples ou jumelés

Billet Adulte parc du Thot visite libre sur une journée à partir de 10H00 :10,00 €

Billet Enfant parc du Thot (moins de 13 ans) visite libre sur une journée à partir de 10H00 : 6,50 €

Billet Enfant gratuit parc du Thot (moins de 5 ans) visite libre sur une journée à partir de 10H00 : 0,00 €

Billets jumelés ( site de Lascaux IV et parc du Thot) adulte 24,00 €

Billets jumelés ( site de Lascaux IV et parc du Thot) enfant ( moins de 13 ans) 15,60 €

Informations et réservation : 05 53 50 70 44 , site du parc: https://www.parc-thot.fr/fr

Encore merci à la municipalité de Fanlac, au différents O.T. régionaux chez qui j'ai recherché de l'info, l'encyclopédie en ligne Wikipédia, ainsi que les différents sites ou blogs (j'espère que je n'oublie personne) et je site celui-ci particulièrement bien fait : https://www.facebook.com/PascalBernardOutreau/

PATRICK GARCIA